vendredi 16 décembre 2011


Il n y a désormais maintenant a priori plus que le rêve!

Les arbes ont abattu leurs feuilles sur le sol,

A mesure de l’avancement de l’âge…



L’or des temples  aplati en grandes surfaces,

Les feuilles accueillent enfin,

le déploiement du vent,

Espace  fait désormais à l’entrée aérienne.



Dix mille souffles parcourent,

Sinueux et fiers,

Au travers des plaines

De souffre,


L’espoir enfin vaincu!

A présent dilapidé ce grand voile de poussière…

Douce la poussière !

Ravissante matière!

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