mardi 28 septembre 2010

J'ai su Jésus. Je suis venu, j'ai vu, et échoué.

Xylophone Xylophone,

Fait d'herbe et de métal précieux.      $$$

Jeu pourri, jet d'eau fantasmatique. Et moi, et toi, dans le pourtour de la feuille de maronnier automnal.

Génial. Génial. Génial.

Accroches-toi à la branche et galipettes.

Permission de minuit, figures-toi le sussurement mirifique dans l'oreille du teenager méga.

Un espace de liberté, un espace figurant l'infigurable, le désuet, le voltigement, et l'atterrissage, et ronron et ron sur le canapé.

Résurgeances, oui résurgeances, midnight résurgeances, après le quoi quoi.

lundi 27 septembre 2010

DEFINITIONS

Chopiner: Boire des chopines en pensant à Chopin

Choupinette: partie du corps féminin utile à la délectation mélancolique

Névrose et Psychose d'après Roland Barthes

Dans "Fragment d'un discours amoureux"; Roland(non, pas la marque fameuse de synthétiseurs), nous informe intéressament que la névrose se conçoit comme un moyen pour le sujet de fuir de la réalité qui le frustre à travers l'imagination d'une autre réalité. En ce sens, il dit que le névrotique adopte une stratégie de surréalisation. Il ajoute ou plutôt soustrait le réel présent à sa propre construction, et ce en vue de se retrouver dans un monde qui le satisfait mieux. En revanche, le psychotique est dans un processuss, non contrôlé, de déréalisation. C'est-à-dire que, le réel ne lui apportant aucune "satisfaction" , celui essaye de chercher une porte de sortie sans la trouver. Alors, c'est l'avènement, comme disait Maupassant, du règne de la bête aveugle, qui fuit quelque chose sans savoir ce que c'est, sans connaître là où il se dirige...

 Un grand frétillement de sardines quoi.

BISOUS FROM THE SKY

vendredi 24 septembre 2010

IAN NORTH: SEX LUST YOU 1982

http://www.youtube.com/watch?v=AmM7kGRR9aI

Responsabilité époustouflante

Réservation de moules aux oignons, assis sur ma chaise en rotin, j 'exulte à la vue de Saint Nectaire qui me fait croire à la douce horreur du lendemain, garni de charcuterie humaine, supplément sauce César pour les tyrans souffrant du temps à perdre encore sur leurs couches antiques à malaxer de l'esclace mexicain, à chier caca sacré sur leurs subalternes subaquatiques sous subutex, heureux d'avoir encore assez de chair pour escalader un lit 1 place dans studette 650 oeufs 9m2.

Pondre des noeuds, être neu-neu, et rôte à la gueule des animal névrotiques, en proie à la paradoxale idée que la vie dépend du choix de tellle ou telle thérapie hygiénique, bourrée de tics hygiéniques, et croire d'être comblé d'entendre à toutes les sauces du bonheur à perdre le sens exquis du malheur que recèle tout bonheur véritable exacerbé par la candeur... 

La chaleur monotone de vouloir tout avoir, même les poulets grillés du voisin, les vapeurs crevettes en nombre exorbitants, et tous ces Zom volant en bande serrée dans le ciel, à la recherche d'accomplissement existentiel dans le travail à la chaîne substantialisé.

Toutes les bases sociales montent et descendent et se bousculent incrédules, dans un balai sans fin, dans le crépuscule du cul de la poule aux oeufs de laiton....