samedi 17 septembre 2011

A PROPOS DU POST-MODERNISME


Les fleurs, les camomilles, merveilleuses certes, sont source de ravissement pour les yeux, à haute dose. A faible dose, les fleurs donnent l’impression d’être déchiré entre notre désir d’être valorisé dans une sphère sociale bien déterminée et notre pulsion à foutre la poudre d’escampette pour explorer d’autres catégories socio-professionnelles, peut-être plus satisfaisantes, pour notre rythme biologique, notre intellect. Par exemple : les électriciens…. Et les bateliers…
 Faibles, peu nombreux, ceux-ci jouissent d’une vue imprenable tout au long de l’année. La perspective d’évolution un peu faiblarde est compensée par la garantie d’un emploi stable à vie jouissant d’une bonne répartition de la masse salariale en fin de carrière, et ce grâce à un système de répartition ancien et bien rodé, engendrant certes une paperasse vraiment à flipper sa mère, mais permettant aux feignants/hulu/hulu/Hala-vazy-que-j’te-pousse, d’avoir un revenu minimum leur permettant d’espérer un jour trouver un peu mieux leur compte dans cette société à la con. Encore que, aujourd’hui, il faut le souligner, avec la globalisation, tout est vraiment interconnecté, donc du coup ça dépend d’une conjoncture globale et mondialisée.
Bref c’est à la fois triste et flatteur pour tout le monde, sauf que si un Pays en vient à être en crise, et ce pour des raisons obscures aux yeux des autres pays, et que seuls les afficionados connaissent, et ben c’est tout le reste qui est touché par la gangrène de l’or perdu car ceux-ci sont liés par un pacte avec le dit-pays en difficulté.
C’est pourquoi il faut lire Epicure en cultivant ton Jardin intérieur ouais. Comme ça on m’éloigne des soucis et des tracas. Certes la maison d’Alice au Pays des Groseilles manque cruellement de cotillons mais en y pensant bien, il y a des avantages non-négligeables à vendre la peau de la rousse avant de l’avoir tutoyée.

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