vendredi 10 juin 2011

Années 80


Une sorte de sublime désespoir coloré, acide, qui ronge, comme un amour, froid et dur, qui transperce…Stupide et génial à la fois. Une complète imposture sublime. Le paroxysme du paradoxe. 
Des coeurs d'or cachés et défaits, pleins d'espoir...

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