Il n y a désormais maintenant a priori plus que le rêve!
Les arbes ont abattu leurs feuilles sur le sol,
A mesure de l’avancement de l’âge…
L’or des temples aplati en grandes surfaces,
Les feuilles accueillent enfin,
le déploiement du vent,
Espace fait désormais à l’entrée aérienne.
Dix mille souffles parcourent,
Sinueux et fiers,
Au travers des plaines
De souffre,
L’espoir enfin vaincu!
A présent dilapidé ce grand voile de poussière…
Douce la poussière !
Ravissante matière!
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