samedi 12 novembre 2011

Star system

 
R-evve ; Désormais  « star de la msique électronique », je rejoins mes copains du roller quelque part dans une ville sud américaine, au départ je roulais tout seul, et à un moment j'étais devant une cité brésilienne avec des jeux et une ambiance très béton, avec des enfants gitans qui attendaient avec anxiété qu'un de leur copain dealer vienne faire la loi. Je repéra un super spot de roller sur le coup. Puis sentant le danger, je m'éloigna, et par hasard, tomba sur mes copains du roller, qui en masse se jeter sur des barres de fers. J'étais heureux de les retrouver. Un d'eux se jeta sur une barre de fer et la loupa et fit une galipette dangereuse mais rien au final ouf. Une sorte de compétition en fait se déroule. Je leur dis que j'ai vu un superbe spot devant la cité des enfants gitans brésiliens : un truc ou tu roules sur un petit muret pour te laisseer tomber en back royale sur un muret 1m50 plus bas de façon furtive. J'essaye le trick, motivé par leur présence. Au 2 ème essai, je tombe sur un lit, où je crois qu'il y a personne mais en fait c'est un lit une place avec dedans Marie Darrieussec qui dort à poings fermés, toute mignonne enfouie dans le méli mélo mignon des draps. On est dans son appart design en fait, avec vue sur la méditerraéne, pas loin de Montpellier. Le temps est resplendissant, et tous les fidèles de Marie Darrieusec vont bientôt faire come elle, c'est à dire dormir car elle se traite la mélancolie par le sommeil, alors tous les fidèles dorment, et Marie Darrieusec se lève et descend par un petit chemin une colline en Inde, peinte en Bleu-Noir, a le visage d'une Bouddha et les tibétains lui font sonner les cloches et elle avance les yeux fermés avec une mini sourire elle est sanctifiée. Elle a vraiment eu raison de faire dodo.

vendredi 11 novembre 2011

Gargouillis

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Gargouille posée sur le roche sanctifiée,

Qui médite à s'envoler avec les autres gargouilles,

Noires des poussières d'activité.

L'aurore s'élève sur la ville,

Et les gargouillent songent encore à la nuit :



« Ce ciel bleu ne laisse pas de place au doute ». Arrive alors l'oiseau de feu qui leur dit : « Hey yo les gargouilles ! Allez venez quoi shit! S'agit juste d'abandonner votre délicieuse introspection noircisseuse, d'oublier votre douleur exquise, pour sourire les choses sans prise de tête yo ! Si vous pensez que la densité de la life se trouve dans la mortification, c'est que vous prenez le trois pour le nombre fuck ! »





N'est ce pas plus profond d'être léger/froushi quand on sait que l'on pourrait être lourd/prochtopouf yo ?! »

Ouais.




mercredi 2 novembre 2011

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Amour, ne t'attendrai pas, la vie est trop courte merde au cul !
Préfère courir tranquillement, pêcher le poisson, siroter elixirs et poisons, déguster pêches et escargots, truites au miel, figues d'Ecosse, pêches plus mûres, escargots refroidis, disques au canard, tranches de pinguin, bouillie de boulons, boules d'espadon, boulgour d'édredon.

Amour, non ne vais pas t'attendre comme un nigaudard.
préfèrre les buissons, qui font les bois, qui s'assemblent en Forêts, en grandes Forêts, pleines de boulots, de chênes verts, de chênes lièges, de platanes, de tramontanes, de rapides, de rivières, de ruisseaux, de Rousseau, de pierres, de roches, de rochers, de cailloux, tout argent, métalliques, bien polis, et rugueux, biens secrets, tout discrets.

Qu'ils murmurrent et sussurent, un Amour, certes encore,
Tout petit, cet Amour, loin de la chambre, qui appartient à l'appartement, qui est dans l'immeuble, qui est dans le quartier, le quartier de la ville, de la grande Ville, du pays, petit Pays, Grand pays, du Continent, de la Terre, de la Terre...

Entouré d'Amour, fourré à l'Amour, aux quatre coins.

Amour, ne t'attendrai pas, car tu es partout...