"quand l'humaine tendresse ne sait plus chauffer mes
joies
Qu'importe l'ami le seul l'ennui
je porte en moi la mie le pain la mort l'ami
et le degré de froid chaque jour augmente en moi ami
devient ami qu'importe l'habitude
qu'importe l'ami le seul la nuit l'ennui
un jour un jour un jour je mettrai le manteau de l'éternelle chaleur sur moi
enfoui oublié des autres à leur tour oubliés des autres
si je pouvais atteindre le lumineux oubli"
Tristan Tzara, L'Homme approximatif
joies
Qu'importe l'ami le seul l'ennui
je porte en moi la mie le pain la mort l'ami
et le degré de froid chaque jour augmente en moi ami
devient ami qu'importe l'habitude
qu'importe l'ami le seul la nuit l'ennui
un jour un jour un jour je mettrai le manteau de l'éternelle chaleur sur moi
enfoui oublié des autres à leur tour oubliés des autres
si je pouvais atteindre le lumineux oubli"
Tristan Tzara, L'Homme approximatif
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