Dur dur d’être à la cool pour toujours, pour les
petits êtres/chats solitaires abandonnés dans leurs cages à créer à
jamais. Ils jouent tous seuls avec leurs jouets, tournent la tête de tout
côté, le souffle court et/ou puissant ; tournent en rond petit-patapon,
tuent des feuilles jolies à coups de crayon, déchirent le ciel de leurs cris,
défoncent du poing leurs clic/clac/clouc, détalent dans la rue l’œil en furie,
pour pleurer enfin dans leur petit lit papa/douleur, leurs oreilles saignant au
gré des inflexions de cœurs orthodoxes.
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